Aucune préméditation dans son processus créatif, juste une émotion vécue au moment de la prise de vue qui l’entraîne, au cours de diverses phases de traitement informatiques, à revisiter la globalité d’un lieu, à en extraire les détails, voire à se focaliser sur la dégradation de la matière par le temps.

La sensation première, renforcée ou détournée, s’enrichit au fur-et-à-mesure de ses manipulations de nouvelles émotions qui l’amènent au titre de l’œuvre, expression d’un regard humoristique, quelquefois satirique, mais toujours tendre vis-à-vis de ces lieux qui symbolisent la grandeur décadente de notre Société.